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22 février 2012 3 22 /02 /février /2012 22:22

FindEte09 2011

 

Le temps glacial qui a sévi ces derniers temps sur notre région a obligé les cygnes, canards, cormorans, foulques et autres poules d’eau à se serrer les rangs et à tourner en rond constamment afin d’éviter que l’eau ne gèle et les emprisonne, comme c'était le cas pour les malheureux flamants rose dans le sud de la France.

Au centre de notre petite ville, devant et derrière le moulin et du côté du pond de la Sarre, ce manège attire les amoureux des oiseaux qui viennent leur lancer de la nourriture. Les oiseaux ont vite compris et se rapprochent facilement pour rejoindre les visiteurs près de la berge.

Du merle transi dans la neige à la mésange bleue engourdie sur une branche givrée… beaucoup d’oiseaux éprouvent des difficultés durant l’hiver.


FindEte09 2011

 

Les oiseaux consacrent la quasi-totalité de la journée à rechercher de la nourriture, notamment pour résister au froid. Et cela n’est pas facile.

C'est leur combat quotidien !

Leurs besoins énergétiques pour maintenir leur température corporelle augmentent, tandis que les ressources alimentaires diminuent, jusqu’à devenir rares ou ne sont pas accessibles à cause de la neige ou de la glace, ils ont besoin d’un apport supplémentaire de nourriture. De plus, les jours sont courts, ce qui leur laisse beaucoup moins de temps pour rechercher leur ration quotidienne. Alors proposons-leur des petits plats qui les aideront à tenir jusqu’au printemps. En installant des mangeoires près de chez vous, vous serez d’un précieux secours pour les oiseaux affamés. Un petit coup de pouce pour passer cette période difficile en alimentant vos mangeoires, les oiseaux vous en seront reconnaissants. Les allées et venues des oiseaux égayeront les jardins et chacun pourra facilement les observer, apprendre à les reconnaître, étudier leurs comportements ou tout simplement les contempler. Le nourrissage devra être ralenti quand le temps se radoucira.

Que leur proposer ? Des gourmandises, à ne donner qu’en petites quantités : pommes de terre cuites (appréciées des merles, grives, geais…) ; fromages secs (croûtes, râpé) ; riz ou pâtes cuits (pour les tourterelles, les moineaux) ; miettes de pain ou de gâteau.

En revanche, ne jamais donner : aliments salés, biscottes, déchets de pâtisserie, noix de coco séchée, qui gonflent et provoquent des troubles digestifs ; lait, larves de mouches (asticots), pouvant perforer l’estomac des oiseaux ; graines de lin ou de ricin qui sont toxiques.

Venir en aide aux oiseaux durant la mauvaise saison permet d’en faire des compagnons de tous les jours.

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 22:49

Bandeau-Mosaik

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9 février 2012 4 09 /02 /février /2012 21:42

FindEte09 2011

Les eaux de la Sarre qui traversent nos contrées étaient en crue il y a deux semaines encore et débordaient largement sur les grandes prairies entre Sarralbe et Keskastel. Il y là sans doute matière à trouver de la nourriture pour certains oiseaux. En effet, près du pont, juste après le petit étang, une quinzaine de grandes aigrettes blanches immaculées, se régalaient le long de la route qui relie l'Alsace à la Lorraine. Leur envol silencieux est spectaculaire.

La grande aigrette blanche est un échassier de la famille des hérons ; elle ne possède pas de huppe. Cet échassier blanc est reconnaissable notamment à son plumage uniformément blanc et à son vol caractéristique avec le cou replié dans les épaules. Quant à la couleur de son bec, elle est jaune, hors période de nidification ou si l’individu ne niche pas. Par contre, en période nuptiale, le bec devient noir. La taille correspond environ à la taille d’un héron cendré. Ces oiseaux d’une longueur de 95 cm pour une envergure supérieure à 150 cm et un poids allant de 1 à 1,7 kg ont bien failli disparaître au début du XXe siècle, victimes de la plumasserie (commerce des plumes utilisées dans la mode et l’ornementation).

Classée espèce protégée, on les observe de plus en plus souvent dans nos régions pendant la période de l’hivernage, de l’automne jusqu'au printemps, sur les rives des étangs et de nos cours d’eau. Les grandes aigrettes se reproduisent en Asie et dans l’Est de l’Europe où elles s’installent en colonies dans les roselières. Elles se nourrissent essentiellement de poissons, n’hésitant pas à capturer accessoirement insectes, amphibiens et reptiles. Cohabitant bien souvent avec les hérons cendrés, elles ne laissent pas l’observateur indifférent du fait de leurs mouvements emplis de grâce et d’élégance.

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 17:21

FindEte09 2011

Après tout, les hivers ne sont plus aussi rudes qu’avant et nos marais et rivières regorgent de nourriture. Alors, à quoi bon se lancer dans un long voyage, bien souvent dangereux et incertain ? A peu de choses près, c’est sans doute ce que doivent se dire ces quelques cigognes que l'on peut apercevoir cet hiver sur les toits du moulin et du laboratoire. En effet, la population de ces oiseaux migrateurs, menacée de disparition il y a une trentaine d'années, se porte beaucoup mieux aujourd'hui et de nombreux couples se sédentarisent de plus en plus et décident de rester dans nos contrées en boudant l’Afrique à la fin de l’été.

Comment explique-t-on ces migrations ? Pourquoi les cigognes migrent-elles ? ou ne migrent-elles plus ? Comment savent-elles quand il est temps d’entreprendre leur long voyage ? Qu’est-ce qui les guide dans leur trajet et dans la bonne direction ? Comment savent-elles leur destination et comment se préparent-elles pour le voyage ?

Certaines questions ont conduit à des réponses claires ; d’autres font toujours l’objet de recherches.

Ce grand mystère de l’orientation des oiseaux dans l’espace est longtemps resté sans réponse. Aujourd’hui, il semble que les parents fournissent à travers le code génétique un véritable programme de vol (temps de déplacement et direction) à leurs petits. Le coucou constitue un excellent exemple puisque, abandonné à la naissance par ses parents dans le nid d’autres espèces, il réussit malgré tout à trouver les zones d’hivernage propres à ses congénères. Afin de s’orienter sur les trajets migratoires, les oiseaux utilisent un système complexe de repérage par rapport aux étoiles, au soleil et au magnétisme terrestre. Les jeunes oiseaux apprennent dès le nid les repères célestes et la position des étoiles qui leur serviront pour la migration. Lorsque l’oiseau a déjà réalisé le trajet migratoire l’année précédente, il se sert de sa mémoire du relief ou des grands ensembles géographiques pour retrouver son lac, sa prairie, sa forêt ou son buisson.

Pour un scientifique favorable à la conception chrétienne du monde, la migration des oiseaux est un exemple de plus révélant, qu’il y a un projet divin derrière toutes ces merveilles de la nature.

Nous, les humains, avons aussi reçu de nos parents "un programme de vol" mais nous ne savons pas l'exploiter. Et le monde moderne complique en plus les choses.

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10 novembre 2011 4 10 /11 /novembre /2011 00:12

PaysageHiver1 01 2011

Lever les yeux vers le ciel est pour moi une habitude, surtout en cette saison. Avec l’automne reviennent les grands vols d’oiseaux migrateurs. J’aime particulièrement ceux des grues cendrées. Nous avons la chance d’être situé dans le couloir de migration de ces magnifiques oiseaux. Entendre leurs cris caractéristiques, perçants, au printemps c’est la promesse à venir des beaux jours et du radoucissement des températures, en automne, c’est le signe que la belle saison est terminée (même si l’été indien nous réserve le plus souvent une arrière-saison magnifique...) dans les deux cas, ces passages m’emplissent de joie.
Encore un supperbe week-end, un week-end que l'hiver n'aura pas… De belles journée passées au jardin, à tailler les arbres, à ramasser les feuilles mortes, mais c'était surtout pour les entendre et les voir passer dans ce ciel bleu d'automne, malheureusement je n'ai pas eu cette chance, le week-end prochain peut-être. Bien plus chanceux la veille au soir, vendredi aux alentours de 20h. Toujours attentif aux bruits de la nature, j’entends des clameurs que je reconnais aussitôt, les yeux levés vers le ciel sombre de la nuit, j’essaie de discerner ces fidèles hôtes de passage sans les apercevoir, à ma grande consternation. Enfin les voilà, elles sont là et comme chaque année elles restent fidèles à leur instinct animal et reprennent le chemin de leur migration !
Il arrive qu'on soit tiré du sommeil par leur concert étrange et joyeux dans la nature silencieuse des nuits de novembre. De jour comme de nuit, ces migrateurs se relaient à la tête de leur formation en V (ou du Y), celui qui a été "leader" des dizaines (ou centaines) de kilomètres se laisse dépasser par les autres pour venir à la place plus confortable de dernier, profitant ainsi de la dépression qui se forme derrière ses prédécesseurs pour pouvoir reprendre des forces en ayant moins d'efforts à fournir. Leurs formations survolent par vagues successives nos campagnes et nos agglomérations en claironnant continuellement de leurs cris de contact impressionnants, puissants et audibles de loin, ils couvrent tous les autres bruits de la nature.
On ne peut pas dire qu'elles soient discrètes les belles !
Cet automne, leur passage aura été pour moi, un vol de nuit, un défilé majestueux, un rituel saisonnier rassurant...
Nul n'est insensible au spectacle du passage des Grues Cendrées.

Ecoutez leurs cris caractéristiques, perçants, claironnants, leurs cris de contact impressionnants
en activant le son et en cliquant sur la flèche ci-dessous.

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17 octobre 2011 1 17 /10 /octobre /2011 23:09

 

FindEte09 2011

Passionné d'images j'aime tout particulièrement capturer les spectacles magiques que nous offre la nature. L’arbre à papillons a tenu sa promesse et nous apporte de belles envolées multicolores ! Les nuits d'octobre sont froides. Le long des chemins, les fleurs sauvages ont la vie dure et se serrent les coudes, malheureusement leur cycle de vie tire à sa fin.

Aux portes de l’automne, je profite de ces dernières belles journées qui donnent l’illusion que l’été ne s’en ira pas.


L’occasion de sortir l’appareil photo et de capturer toutes ces belles couleurs avant que la nature ne change.

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8 septembre 2011 4 08 /09 /septembre /2011 23:10

En cette fin de vacances, je me devais de te rendre une petite visite, avant ton départ imminent vers des contrées plus douces et plus accueillantes, pour ce grand voyage migratoire qui te mènera je ne sais où ; peut-être resteras-tu au pays, dans notre belle France du sud ; peut-être aussi trouveras-tu refuge en Espagne ou plus loin encore, sur un autre continent !  

Ce dimanche 28 août, vaillamment debout dans ton nid, ton regard en disait long ! Triste bilan que cette saison 2011, pour toi et les tiens. Le printemps a été très sec, trop sec pour vous autres échassiers, friands de grenouilles et autres larves de nos marais ; votre nourriture naturelle s'est faite rare et la plupart des couples se sont résignés à sacrifier le plus faible de leurs cigogneaux. Difficile alternative, mais nécessaire et vitale pour la survie des bébés sauvés.

Pour toi Constance, cette saison fut bien plus dramatique encore ; en une funeste répétition, une violente bourrasque a encore fait basculer ton nid, entraînant et détruisant ta couvée par un après-midi venteux du mois de mai. Mais rien n'y fit ! Avec ton compagnon, vous avez mis les bouchées doubles pour reconstruire rapidement un nouveau nid, bien plus solide encore, dans l'espoir d'y fonder une nouvelle famille. Mais à ce moment-là, le temps vous était compté. Et c'était malheureusement trop tard pour "faire des petits". Vous vous êtes donc résignés avec tristesse mais aussi avec beaucoup de dignité, à attendre la saison des départs et à vivre sans petits à protéger et à choyer.

Et voilà ! Ce dimanche 28 août, le grand départ pour la migration se préparait avec émotion, départ qui devait se faire dans une ou deux semaines tout au plus. Mais c'était sans compter sur la "clémence" des gendarmes, n'est ce pas, ma belle Constance ? Le mardi suivant, tu observais avec curiosité et intérêt l'agitation de tes hôtes de la gendarmerie.

Ah oui ! De bien belles manœuvres : un exercice grandeur nature avec un feu fictif dans le sous-sol du bâtiment, des manœuvres magnifiquement exécutées. Tu étais en admiration devant la promptitude et l'efficacité des beaux soldats du feu. Seulement voilà ! Tu ne t'attendais pas à une telle "perfection". Sur un ordre donné, les soldats du feu et leurs beaux casques rutilants ont déployé la grande echelle, et sous tes yeux, ma pauvre Constance, ont une nouvelle fois détrôné et détruit ton nid que tu avais reconstruit avec tant de mal sur la cheminée.

Ah bravo ! Bravo les messieurs de la maréchaussée !!! Vous venez d'anéantir les derniers espoirs de notre Constance, Constance qui faisait le charme de la gendarmerie, qui apportait une note de gaieté et de couleur au ciel de Sarralbe, trop souvent gris et couvert.

Expulsée... Constance, chassée... comme une malpropre !

Et tu es partie, sans doute le coeur déchiré, partie avant l'heure, sans survoler une dernière fois notre petite ville, sans un adieu à cette si jolie et pourtant si impitoyable ville.

Si une cigogne sait pleurer, tu devais en verser des larmes, des larmes de dépit, des larmes d'humiliation, des larmes de désespoir.

Auras tu seulement la force de faire le voyage ?

Auras-tu le courage de rejoindre ces cieux et ces hommes plus cléments ?

Sache que nous comptons sur toi. Au printemps prochain nous guetterons ton retour, et si tu choisis de revenir parmi ceux qui t'ont trahi, sache que dans notre jolie petite vallée de la Sarre, tu seras reçue comme une reine, la reine que tu es. Non, ne t'inquiète pas, Constance ! Nous t'épargnerons la cohabitation avec les képis et les uniformes, avec ceux qui veillent au bien-être des hommes et non à celui des animaux.

Nous t'accueillerons chez nous, au bord de la Sarre où, tu le sais, un charmant logis t'attend. Et nous aurons à nouveau l'immense plaisir d'admirer ton vol majestueux dans nos cieux lorrains.

Nous t'attendons, ma belle ! 
Reviens nous réjouir et nous éblouir ! Reviens !


Bon vent, chère Constance. Que Dieu te protège !


Cigognes09 2011

CigognesGeranium09 2011

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7 juillet 2011 4 07 /07 /juillet /2011 21:21

Promenade au bord de l'eau à la rencontre des nouveaux nés.

J'ai de la chance ce matin. Tout ce beau petit monde est au bord du rivage, je me pose tranquillement et les observe. Il y a quelque chose de bizarre, mon regard discerne un changement sans le définir, un je ne sais quoi...

Bon sang ! Il n'y a plus que trois cygneaux, l'un manque à l'appel... Un petit n'a pas passé la nuit ! Je suis submergé par un sentiment de tristesse, la gorge nouée, me disant que la vie est vraiment trop injuste avec ses sujets innocents, qui n'apportent pourtant que du bonheur et de la grâce.

Quand tout à coup... La mère qui se trouvait de profil devant moi, pivote majestueusement. Lentement je vois une bouille trop mignonne, les yeux a demi ouvert, emmitouflé dans les ailes de la maman. Ouf, quel soulagement ! Il m'a fait une belle frayeur, ce petit chenapan. Il voulait tout simplement profiter un peu plus longtemps que ses frères du nid douillé qu'est le dos de sa maman.

Soudain heureux, j'ai ri aux éclats ! Un pécheur à proximité, m'a lancé un regard ; il devait me prendre pour un fou. Dans l'instant les larmes qui brouillaient mon champ de vision se sont transformées en larmes de joie.

Peu de temps après, le petit retardataire mouillait ses pieds palmés.

Une belle journée pouvait commencer.

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4 juin 2011 6 04 /06 /juin /2011 23:50

Bravo, messieurs les gendarmes !

A cause de vous, Constance la courageuse cigogne qui veillait paisiblement du haut de votre cheminée, a jeté l'éponge.

Dimanche 22 mai les bourrasques de l'après-midi ont eu raison de son nid. Pour la seconde fois depuis le début de la belle saison, les travaux de nidification des futurs parents ont été détruits.

Ce soir-là, la pauvre Constance tournoyait désespérément au-dessus de sa couvée anéantie, gisant pitoyablement sur le toit de la gendarmerie. Mais c'est connu, les cigognes poussées par leur instinct naturel reviennent avec détermination pour rebâtir encore et encore sur la même cheminée.

Dans la matinée du mercredi suivant une grande échelle apparaît soudain et s’approche dangereusement de leur logis aérien. Un peu craintives tout de même, les cigognes reprennent confiance et se disent : les humains nous protègent, ils nous apportent leur aide et leur savoir-faire.

Trahison ! Les valeureux échassiers observent avec consternation des soldats du feu démolir sans état d'âme les fondements de leur nouvelle demeure. Perturbées et affolées, nos malheureuses cigognes s'envolent à tire d'aile.

Aujourd'hui, et depuis ce jour funeste, la cheminée est tristement déserte. Inutile de jeter un regard curieux et admiratif vers le ciel, en passant devant la gendarmerie. Circulez ! Il n'y a plus rien à voir. Constance et son compagnon ne reviendront pas, écœurés par la cruauté des hommes et trop las sans doute pour se remettre à la tâche, une énième fois.

Constance, brave Constance ! Nous, amis de la nature et admirateurs sans réserve de cette splendide famille dont tu fais partie, nous te saluons bien bas.

Ma belle Constance, ne baisse pas les "ailes", garde la tête haute, avec ta fierté et ta persévérance légendaire. Du côté de la rue des Frères Herbeth, quelques inconditionnels s'efforcent tant bien que mal de préserver un petit bout de nature. Un nid bien douillet t'y attend, dans un charmant coin de verdure au bord de l'eau.

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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 22:30

C'est l'histoire d'un petit garçon Noé 6 ans et de son papy Alain….

Le petit veut une cabane dans un arbre, il dessine un projet et.... s'en suit une grande aventure !

Au fil des mois, des années, le projet prend forme pour devenir une vraie belle et grande cabane, avec de jolies finitions, un rêve abouti....

Et dire que ce petit coin de paradis ne se situe qu'à peine un kilomètre derrière chez moi.

Enfant, on a tous rêvé d’une cabane dans les arbres. Les enfants adorent cet univers poétique, ludique, intemporel et magique qui fait rêver. Vivre en parfaite harmonie avec la nature, se mettre à chuchoter tout naturellement quand tombe la nuit, avant que les derniers oiseaux ne se taisent, s’endormir avec le bruit des grenouilles qui se prélassent. Se lever le matin juste à côté des cigognes dans la fraîcheur de la forêt, et se laisser envahir par toute cette nature qui nous entoure. C’est ce qu’on appelle « un bain de nature », un luxe absolu de la simplicité. On ne peut imaginer plus élémentaire et plus inspirant que cette cabane juchée dans les arbres, modèle de charme, de décalage et de fantaisie. On ne peut s'empêcher de toucher les troncs des arbres qui supportent la cabane ; comme un dernier réflexe de l'homme moderne qui vérifie si c'est bien du vrai bois. Et sans s'en apercevoir, on oublie tout. Le lieu devient comme une évidence : la nature, la simplicité, le calme. On se demande pourquoi on n'est pas venu avant, tout en ayant l'impression d'avoir toujours connu l'endroit. L'escalier nous appelle, on s'empresse de monter ses marches ; dans un premier temps on visite les lieux, et c'est là !

On reste scotché sur la terrasse, juste pour écouter la forêt ou plutôt, faire partie intégrante de la forêt.

On est bien, tout simplement !

Découvrez ce lieu magique sur www.archedenoe.eu

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