« Soyez les bienvenus pour cette célébration de la Fête-Dieu ». C’est en ces termes qu’ont accueilli les fidèles de la communauté de paroisses Sainte Trinité de l'Albe, l’Abbé Sébastien Roch et le Diacre Michel Barbiche. La Fête-Dieu ou fête du Saint-Sacrement est commémorée 60 jours après Pâques et célèbre la présence réelle de Jésus-Christ dans le sacrement de l’eucharistie.
Dimanche dernier, la célébration de la fête-dieu, a été préparée de belle manière par les bénévoles de la paroisse. La mise en place des reposoirs a été réalisée le dimanche de bonne heure. Le premier était installé du côté de la rue de la gare, le deuxième sur le parvis de l'église. À l’appel de l’Abbé Sébastien Roch et après la cérémonie, les paroissiens se sont rendus en procession en direction des reposoirs. Le Diacre Michel Barbiche portait l'ostensoir et les enfants, qui tenaient des paniers de pétales de fleurs, ont, selon la tradition, parsemé le sol de fleurs. Pour cette belle fête, il avait été proposé de ramener une petite pierre ou un caillou qui ont servi à décorer le reposoir situé sur le parvis de l'église.
À la fin de la messe, un repas interparoissial avec au menu, jambon à l’os, crudités et gâteaux a mis fin à un moment plein de solennité. L’organisation d’un tel repas, avec rassemblement et retrouvailles pour la communauté aux sept paroisses, était une première et une belle réussite.
Fête-Dieu appelée aussi Fête du Saint-Sacrement, Corpus Domini, Corpus Christi est une fête religieuse catholique, mais aussi anglicane, célébrée le jeudi qui suit le dimanche de la Sainte-Trinité. En France, on célèbre cet événement le dimanche suivant. Actuellement, le nom officiel de la fête, dans l’Église catholique, est "Solennité du corps et du sang du Christ". Cette fête commémore la présence réelle de Jésus-Christ dans le sacrement de l’Eucharistie, c’est-à-dire sous les espèces (apparences sensibles) du pain et du vin consacrés au cours du sacrifice eucharistique, à la messe donc.
C’est sous un beau soleil, ce samedi 14 juin que les personnalités civiles et militaires ont commémoré la bataille du 14 juin 1940 dite « Bataille de la trouée de Sarre ». Les Marsoins et Bigors du 51e RMIC et du 41e, dont 18 000 Français s’étaient battus contre 90 000 Allemands, soutenus par 1 000 pièces d’artillerie, sur 28 km de front. Une bataille sanglante où l’on avait relevé 700 morts parmi les combattants franco-polonais et chez l’ennemi 1 200 morts et 4 000 blessés.
Le 14 juin 1940, le secteur fortifié de la Sarre était sous le feu et les soldats du 41 e et 51 e RMCI tenaient leurs positions dans les casemates et blockhaus. Livrés à eux-mêmes, les 24 soldats subirent le 14 juin 1940 une des plus virulentes attaques de la bataille de France, perdant sept de leurs camarades malgré le soutien des grenadiers polonais. La bataille du Knopp, haut lieu de notre histoire, considéré à l’époque comme un pilier d’angle de la ligne Maginot.
A Sarralbe tout d’abord, a eu lieu un dépôt de gerbe au monument aux morts et lecture de l’Appel du 18 juin. Au « Knop » Michel Mansuy, président national des anciens combattants de la ligne Maginot a commémoré et a rappelé le 74e anniversaire des combats de la Trouée de la Sarre. Deux dépôts de gerbes par Michel Mansuy et E. Wozniak, dont le père a été tué lors de la bataille du côté d’Holving et l’autre par les membres de la délégation polonaise. Le cortège a ensuite pris la direction de Rémering-lès-Puttelange et Holving pour déposer une gerbe au monument aux morts et à la redoute 117 ainsi qu’au mémorial du 41e et 51e RMIC d’Holving. Les cérémonies ont été rehaussées par la présence d'une délégation de l’Association des Polonais de Nancy et par le directeur national des Combattants (Source RL).
Mercredi 8 mai, comme partout en France, la journée de la victoire de 1945 a été célébrée. 68e anniversaire du 8-Mai. Après le rassemblement place de la République avec les autorités militaires, civiles et la population, le cortège s’est rendu vers le monument aux Morts ou un hommage solennel a été rendu à la mémoire des victimes. Une gerbe a été déposée au pied du monument, sous le regard des porte-drapeaux et des sapeurs pompiers, fidèles à cette cérémonie du souvenir. Sous un beau soleil printanier, de nombreux Sarralbigeois ont suivi cette commémoration, rehaussée par la participation de la fanfare municipale. Le cortège a défilé à travers la ville et retour à l’hôtel de ville ou le verre de l’amitié a ensuite été partagé.
Le Conseil Général de la Moselle présente :
De gré ou de force
Documentaire qui évoque, à travers des témoignages,
l'expulsion de quelque 100 000 Mosellans au cours de la seconde guerre mondiale.
Le Conseil Général de la Moselle présente :
39/40 Un exil intérieur - L'évacuation des Mosellans
En 2009, une commande du Conseil Général de la Moselle a fait naître ce film témoignage
de l'évacuation des Mosellans en septembre 1939.
A travers les souvenirs de ceux qui ont fait le voyage pour la Charente,
ce documentaire est un morceau de mémoire mosellane.
A Eich, à Rech, à Sarralbe, nous avons honoré nos morts, comme il se doit : devant la stèle du square Patton, au cimetière de la Montagne pour rendre hommage aux soldats britanniques et nous recueillir sur les tombes russes, au monument aux morts de Rech, sur la place de la Libération à Sarralbe et à l’église Saint Martin. Une ambiance très particulière régnait sur ce 94e anniversaire de la commémoration du 11 novembre. Cette journée est désormais dédiée à tous les soldats morts pour la France, quelques soient les conflits pour lesquels ils sont tombés, quelque soit le lieu, quelque soit le moment de notre Histoire.
Le don de la vie est sacré et il mérite le même hommage, la même reconnaissance, la même ferveur. La mort au service de la France ne fait pas de différence. Le champs d'honneur est de toutes les guerres et de tous les conflits qui ont impliqué notre pays...
«Plus que jamais, dans la période de grave crise que traverse le monde, il va falloir que les gouvernants sachent faire preuve d'une grande prudence dans les relations internationales, alliée à une ferme volonté d'explorer toutes les voies qui apaisent les conflits : celle de l'aide au développement, celle du soutien à la démocratie, celle du désarmement. Ils devront aussi montrer leur capacité à apporter des réponses claires à des populations inquiètes et de plus en plus excédées par les inégalités et les injustices».
Dimanche 29 avril, les déportés internés, résistants et patriotes de la section de Sarralbe et environs ont commémoré la journée du Souvenir. Après la messe en l’église Saint-Martin, rehaussée par les clairons de la musique municipale, la chorale paroissiale et le groupe Résurrexit, les autorités civiles et militaires se sont rendues au monument de la déportation pour un dépôt de gerbe. Dans son discours, lu par le secrétaire Hubert Siebenschuh, le président Robert Klein a rappelé les heures sombres de la dernière guerre mondiale et salué la mémoire de « ceux qui ont payé de leur vie, leur combat contre la folie nazie ». Et de rappeler la fragilité et la faiblesse inhérente de nos sociétés. « La perte de la mémoire du passé est sans doute la pire infortune qui puisse frapper un peuple » conclut-il. Une fragilité et une mise en garde reprises par le premier adjoint, Jean-Paul Schmitt, qui estime que le slogan « Plus jamais çà » est bafoué à travers le monde. « Il y a encore du chemin à parcourir et c’est grâce à vous les déportés, résistants et patriotes que l’humanité doit demeurer vigilante dans ce monde en perpétuelle mutation. » (Source RL)
Le mardi 8 mai, comme partout en France, la journée de la victoire de 1945 a été célébrée.
67e anniversaire du 8-Mai. Après le rassemblement place de la République avec les autorités militaires, civiles et la population, le cortège s’est rendu vers le monument aux Morts ou un hommage solennel a été rendu à la mémoire des victimes. Une gerbe a été déposée au pied du monument, sous le regard des porte-drapeaux et des sapeurs pompiers, fidèles à cette cérémonie du souvenir. Sous un beau soleil printanier, de nombreux Sarralbigeois ont suivi cette commémoration, rehaussée par la participation de la fanfare municipale. Le cortège a défilé à travers la ville et retour à l’hôtel de ville ou le verre de l’amitié a ensuite été partagé.
Le 8 mai 1945, la France victorieuse efface la honte de la défaite du régime de Vichy. Avec ses armées reconstituées elle participe à la victoire finale contre le nazisme. En réalité, elle n’a jamais cessé de combattre, à Londres avec De Gaulle, en France dans les rangs de la résistance intérieurs et partout ailleurs, sur terre, sur mer et dans les airs, des Français ont continué de se battre. Le 8 mai 1945, la France retrouve sa souveraineté et l’intégrité de ses frontières. De l’horreur de la guerre est né aussi un espoir, celui d’un monde de coopération et de paix entre les peuples. La création des Nations unies et la construction européenne, créées dans l’élan de la reconstruction morale et politique de l’après-guerre, concrétisent cette promesse.
A Eich, à Rech, à Sarralbe, nous avons honoré nos morts, comme il se doit : devant la stèle du square Patton, au cimetière de la Montagne pour rendre hommage aux soldats britanniques et nous recueillir sur les tombes russes, au monument aux morts de Rech, sur la place de la Libération à Sarralbe et à l’église Saint Martin.
Une ambiance très particulière régnait sur ce 93e anniversaire de la commémoration du 11 novembre. Particulière par sa date, le 11/11/2011 mais également parce qu'il n'y a plus un seul poilu vivant, le dernier âgé de 110 ans, Lazare PONTICELLI, est décédé le 12 mars 2008. Cette journée sera désormais dédiée à tous les soldats morts pour la France, quelques soient les conflits pour lesquels ils sont tombés, quelque soit le lieu, quelque soit le moment de notre Histoire. Le don de la vie est sacré et il mérite le même hommage, la même reconnaissance, la même ferveur. La mort au service de la France ne fait pas de différence. Le champs d'honneur est de toutes les guerres et de tous les conflits qui ont impliqué notre pays...
Ainsi le 11 novembre deviendra, comme disent nos amis Américains le « mémorial day ».
«Plus que jamais, dans la période de grave crise que traverse le monde, il va falloir que les gouvernants sachent faire preuve d'une grande prudence dans les relations internationales, alliée à une ferme volonté d'explorer toutes les voies qui apaisent les conflits : celle de l'aide au développement, celle du soutien à la démocratie, celle du désarmement. Ils devront aussi montrer leur capacité à apporter des réponses claires à des populations inquiètes et de plus en plus excédées par les inégalités et les injustices».
Découvrez ci-dessous le reportage vidéo de Mosaïk TV de cette cérémonie
Bien sûr, la Toussaint n’est pas le seul jour durant lequel on pense à nos proches disparus.
Néanmoins, la Toussaint reste un jour à part dans l’inconscient collectif. Celui où plus qu’un autre, nos pensées vont vers ceux qui nous ont quittés.
Les habitants de la vallée de la Sarre n’ont pas dérogé à la règle tout ce week-end d'été indien. Car ce grand pont de quatre jours a permis aux vivants d’étaler leurs visites sur les dernières demeures de leurs proches. Néanmoins, le 1er novembre a été la journée la plus marquée en terme de fréquentation dans les allées du cimetière de la montagne d'Albe. La Toussaint est un repère dans l’année pour penser à tous ceux qui ont disparu. Il n’y a pas que les plus anciens qui se déplacent pour faire perdurer la tradition de la fête des morts, et ne pas oublier ses aïeux. Beaucoup de jeunes aussi, viennent se recueillir sur les tombes des proches.
Il faut respecter la tradition et la faire perdurer. Car le souvenir de nos proches doit se transmettre aux générations futures. C’est notre devoir de les rappeler à leur souvenir.